a votre avis

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Bonjour a Vous
j'aimerais savoir aussi, comment faire,pour filtré l'eau de source qui est trés calcaire,puis de forage ,et j'ai pas de fer dans cette eau ! tout le reste est bon les autres analyse, mon but est de metres des poissons d' étangs j'ai fait un lagunage avec divers drains pour une longueur de trois metres de long ,profondeurs de 90cm, sur 1 mètre de large, et mis de la pouzzolane sur 20cm de gros diametres et de la plus petites pour plantés les plantes ,sur 20cm de haut,pour mon basin il fait 8 metres de larges, sur 12 métres de longs, profondeur de l'eau 1metres 20, je peux metres jusqu'a 2 mètres 20 d'eau, en hauteur, j'ai mit divers plantes dans mon lagunage, ? elle meurent toutes, je ne sais pourquoi pour le moment, j'ai mis des bactéries en ayant fait fermenté des yaourts ,je refait en plus une autre filtration pour aller dans le lagunage par le haut cette fois ,joint des photos


Francis
dans l'attente de précieux conseil par avance je Vous en remercie bonne journée

Charles

Sur le forum, il existe une case présentation, cela sert à se faire connaître par les autres membres tu peux y accéder directement en cliquant sur PRESENTATION.
Au sujet de ton lagunage normalement cela devrait fonctionner mais un peu plus de précisions seraient nécessaires, il faut que la pouzzo arrive à ras du bord, l'eau ne doit pas dépasser la pouzzo.
A sujet des bactéries, je crois que ce n'est pas la bonne formule que tu as choisi, il existe des centaines voire des milliers de bactéries, certaines sont bonnes d'autres mauvaises mais les bactéries lactiques à mon avis n'ont rien à faire dans ce milieu aquatique.

désolé on voit beaucoup de choses mais perso je n'y comprends rien

Je te rassure t pas le seul :ho ho:

bonjour



merci pour vos avis, je pense connaitre mon problème, pourquoi les plantes meurent, en fait l'eau est salée,je vais metre un osmoseur inversé, tant que pour les bactéries par yaourts , il y as les pour et les contres ? je l'ai lu sur des forums ,je viens de finir ma deuxieme , filtration Voir photo, pour le lagunage je vais corrigé la chose

comment ca se fait que ton eau soit salée :scratch: bactéries par yaourts désolée je comprends rien

faut peut etre lui causer en Martien a Charles...
J'y comprend rien aussi...
il fait des yaourts dans son bassin avec du sel????

En Lorraine il y a beaucoup de salines, Varangéville, pays du Saulnois et je présume que Charles réside près de Varangéville.

ah d'accord ça doit être ça

LE BASSIN SALIFERE LORRAIN
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Où trouve-t'on le sel en Lorraine ?
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Le sel gemme* est abondant en Lorraine. On le trouve à deux niveaux distincts, formés à des époques différentes de l'ère secondaire. Ce bassin salifère est caractérisé par sa richesse et son étendue. Les géologues le classe dans le système triasique* ; il est constitué par deux niveaux différents, noyés dans des formations imperméables, marneuses* ou argileuses :
- Le niveau inférieur : le plus ancien avec 215 à 220 millions d'années, dans le Muschelkalk* moyen, exploité à Sarralbe.
- Le niveau supérieur : le plus récent, daté de 200 à 205 millions d'années, dans l'étage du Keuper*, exploité dans les régions de Dombasle et de Dieuze.
Bien que les limites de ces gisements ne soient qu'approximativement connues, on sait que celui du Keuper inférieur constitue les réserves les plus importantes. Les faisceaux de sel qui le constituent sont estimés à 1000 milliards de tonnes !




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B/ LE GISEMENT KEUPERIEN

Il s'étend sur une longueur de 235 km entre l'étang de Lindre et la région de Sézanne, en Champagne.

Les strates* s'enfoncent progressivement en direction de l'ouest, vers le centre du Bassin Parisien : le sel se trouve ainsi à une profondeur d'environ 600m vers Toul. La partie orientale du gisement, la moins profonde, a été découverte par l'érosion et dissoute durant l'ère quaternaire, durant les derniers millions d'années. Il ne reste donc plus que les zones protégées de la dissolution naturelle par une épaisseur suffisante de roches imperméables, comme celles du Saulnois !
Certains supposent que les étangs nombreux dans ce secteur, tels que celui de Lindre, correspondent à des affaissements de terrains, là où le sel ,voisin de la surface, a été dissous par les eaux.


Le gisement Keupérien est constitué de couches de sel gemme alternant avec des marnes grises parfois gypsifères, regroupé par les saulniers lorrains en « faisceaux ». La onzième couche la plus importante avec une vingtaine de mètres d’épaisseur, est exploitée en galerie à la mine de Varangéville, dans la banlieue sud-est de Nancy. Ces amas stratiformes de sel ont une extension considérable et les plus récents présentent un décalage par rapport aux plus anciens : au cours de l’évaporation, le milieu de formation du gisement s’est en effet déplacé vers le centre du Bassin Parisien.
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Dans la vallée de la Seille, aux environs de Marsal, le site activement exploité autrefois jouit d’une situation privilégiée : le gisement* de sel Keupérien y est présent à des profondeurs relativement faibles, oscillant entre 70 et 200 mètres. Sur la carte géologique de Château-Salins, on trouve à l'affleurement* la couche notée t7a (Km1). Ce sont les marnes irisées inférieures (Salz und Gipskeuper ). Les intercalations de gypse*, en amas lenticulaires, sont fréquentes dans ces marnes*. Elles renferment en outre, en particulier dans les régions de Dieuze et de Château-Salins, de puissantes masses de sel gemme ( 70m en une vingtaine de couches ).
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Le forage* "Brejcha" à Dieuze en 1906, entièrement carroté* a atteint le grés vosgien. Il montre :
- dans le Keuper inférieur, du sel compris entre -59m et -208m, surtout développé entre -59m et -140m avec une hauteur cumulée de 59m de sel, dont un faisceau de 18m d'épaisseur ! Ces bancs alternent avec des marnes grises et rouges, plus ou moins dolomitiques*, du gypse* et de l'anhydrite*.
- dans le Muschelkalk moyen, entre 392 et 419m, les "couches grises inférieures", comportant 6 couches de sel.

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C/ LE GISEMENT MUSCHELKALK

Partiellement recouvert par le gisement Keupérien, le sel du Muschelkalk est mal délimité vers l’ouest. Il est présent à la verticale de Dieuze,( voir description du forage ci-dessus), mais n’atteint sans doute pas la région de Dombasle. Il en est de même vers l’Est, où son extension s’inscrit à l’intérieur d’une ligne Gerbéviller -Avricourt -Héming -Sarre -Union -Sarreguemines -Faulquemont. C’est la partie la plus à l’est qui a accueilli les principaux centres d’exploitation (à Sarralbe notamment).
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Le forage de Morhange en 1954 offre une concordance remarquable avec celui de Dieuze, mais la traversée du gîte* salifère dans le Keuper inférieur, partiel, n'a pas été observée.

Ce gisement est beaucoup plus modeste. Situé au sein des marnes* qui constituent les « couches grises » du Muschelkalk, il est représenté par une ou deux veines de sel n’excédant guère 20 mètres d’épaisseur totale et passant latéralement à des formations sulfatées. A Dieuze les 6 couches totalisent une épaisseur de 14m, surplombant gypse* et anhydrite*.