Vidéos de kois.
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dada12340
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- Ganryu59Connaisseur
- Date d'inscription : 07/04/2011
Re: Vidéos de kois.
Ven 6 Jan 2012 - 13:39
Dada?sur que c'est un showa?j'aurai dit Sanke,me trompe-je?
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
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Age : 25
Re: Vidéos de kois.
Ven 6 Jan 2012 - 17:31
Re,Ganryu59 a écrit:Dada?sur que c'est un showa?j'aurai dit Sanke,me trompe-je?
Oui on dirait un sanke en plus il a une tache rouge sur la tete mais c'est marqué showa...
- Ganryu59Connaisseur
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Age : 42
Re: Vidéos de kois.
Ven 6 Jan 2012 - 19:34
dada12340 a écrit:Re,
Tancho showa:
Celle la...j'aimerai l'avoir dans mon bassin :eps:
- max62Régulier
Localisation : Quelmes,Pas-de-calais
Date d'inscription : 06/09/2011
Age : 56
Re: Vidéos de kois.
Ven 6 Jan 2012 - 20:54
:plus1: je l'adore aussi mais je trouve dommage que le noir passe sur le rouge....il aurait été encore plus beau
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Ven 6 Jan 2012 - 21:08
Re,
Moi j'adore l'asagi :eps: .
Moi j'adore l'asagi :eps: .
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
Date d'inscription : 30/08/2011
Age : 25
Re: Vidéos de kois.
Ven 6 Jan 2012 - 21:13
Re,
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
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Age : 25
Re: Vidéos de kois.
Ven 6 Jan 2012 - 21:14
Re,
Asagi d'1metre la vache!(Ce n'est pas une vache mais presque).:
Asagi d'1metre la vache!(Ce n'est pas une vache mais presque).:
Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 8:24
Salut n'existe t il pas une planche ou des planches à dessins sur lesquelles seraient répertorié toutes les variétés avec les différents patrons de colorations pour voir d'un seul coup d'oeil les nuances d'une koï à l'autre.
Je fais appel aussi au traducteur "allemand français" pour la vidéo de la koï qui à un énorme ventre et sur laquelle il font une échographie. Il y a un post sur une comête qui a ce problème alors peut être que ce qu'ils voient et ce qu'ils disent nous serait utile.
Je fais appel aussi au traducteur "allemand français" pour la vidéo de la koï qui à un énorme ventre et sur laquelle il font une échographie. Il y a un post sur une comête qui a ce problème alors peut être que ce qu'ils voient et ce qu'ils disent nous serait utile.
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
Date d'inscription : 30/08/2011
Age : 25
Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 10:42
Re,
Tu ma donner une idéé je vais faire un tableau des éspéces de kois.
Tu ma donner une idéé je vais faire un tableau des éspéces de kois.
Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 10:46
J'avais trouvè celle la sur le net, mais dada va nous faire mieux je pense
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
Date d'inscription : 30/08/2011
Age : 25
Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 10:58
Re,cphil06 a écrit:
J'avais trouvè celle la sur le net, mais dada va nous faire mieux je pense
Non pas mieux diférente toi ta les kois dessiner et moi il y aura toute les éspéce sous espéce ect...
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
Date d'inscription : 30/08/2011
Age : 25
Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 11:00
Re,
Pour l'instant je met l'histoire:
1 L'Histoire
Étymologie & Mythologie :
« On déballait les carpes du Rhin, mordorées, si belles avec leurs roussissures métalliques,
et dont les plaques d'écailles ressemblent à des émaux cloisonnés et bronzés ... »
ZOLA, Le Ventre de Paris, 1873.
Cette superbe description de la carpe traduit parfaitement bien le nom scientifique mi-grec, mi-latin donné par Linné en 1758 à ce genre de poisson : « Cyprinus carpio ». Les Grecs l’appelaient « κυπρίνος » -cyprinos- c’est-à-dire « originaire de Chypre », comme le cyprès ou le cuivre…qui ont la même étymologie : Kupris !
Cette Cypris désignait non seulement l’île de Chypre, mais avant tout sa déesse tutélaire, Aphrodite (Vénus pour les latins), déesse de l’amour et de la beauté. Or Aphrodite, littéralement, c’est celle qui est « née de l’écume », mais quelle écume ! Avec elle, nous sommes au cœur de la mythologie ! Son père était Ouranos (Uranus), le dieu du Ciel, époux de Gaïa (la Terre). Il avait la fâcheuse habitude de dévorer ses enfants mais l’un de ceux-ci, Cronos, en avait réchappé, et pour mettre fin à cette malédiction, trancha les organes génitaux de son père et les lança dans la mer…où ils tombèrent dans une gerbe d’écume qui fut poussée par Zéphyr, l’un des dieux du vent, de Cythère à Chypre où elle échoua. C’est là, sur le rivage , près d’un rocher que l’on peut toujours voir, la « Petra dou Roumiou » -la pierre du romain-, non loin de Paphos, sur la côte occidentale , au milieu d’un paysage grandiose, que naquit alors Aphrodite Cypris…et sans doute ses petites sœurs les Carpes !
Quant à l’origine latine du mot « carpio » linnéen, elle serait plutôt à chercher du côté de l’Europe de l’Est : la karpfen germanique désignait un gros poisson du Danube que les Latins appelèrent alors « carpa ». Mais l’on ne peut non plus s’empêcher de penser aussi qu’en latin, « carpere » veut dire cueillir mais aussi « brouter » pour les animaux et « carpatinus » semblable à un cuir grossier : deux mots qui pourraient également décrire parfaitement notre commère la Carpe !
La carpe commune à l'assaut des continents :
A l'origine de nos fameuses carpes koï, se trouvent les carpes communes. Il existe environ 1.500 espèces ou sous-espèces de carpes dans le monde. Notre carpe commune est originaire d’Asie Mineure et d’Asie moyenne et a ensuite étendu naturellement son aire de répartition vers l’Est (Chine), le Sud et l’Ouest (bassins de l’Euphrate et du Danube), probablement à la fin de la période post-glaciaire, soit il y a 8.000 à 10.000 ans !
Puis on la retrouve de la Turquie au Japon et dans les bassins de la mer Noire, de la Caspienne et de la mer d’Aral. Dans le bassin de l’Amour, elle s’hybride avec d’autres espèces voisines. Sa distribution s’élargit fortement vers le Nord et vers l’Ouest en Europe. La carpe a été l'un des premiers poissons introduits en France, il y a plus de 2000 ans, par les Romains, puis élevés ensuite tout au long du Moyen Age par les moines. Charlemagne (742-814 après J.C.) a été le premier souverain à ordonner à ses fermiers de maintenir mares et étangs pour l’élevage des carpes. En France, entre 1300 et 1500, les monastères développent et exploitent de nombreux étangs de production de carpes. Les connaissances en aquaculture évoluent lentement et souvent l'agriculture prend le dessus sur l'élevage piscicole et à partir de 1800, de nombreux étangs disparaissent. Elle s'est largement répandue sur l'ensemble du territoire à l'exception des zones de montagne (Alpes, Pyrénées). Ce poisson osseux, au squelette entièrement ossifié, est le plus gros de nos cyprinidés. La carpe est aujourd’hui très présente dans toute l’Europe et les pêcheurs connaissent bien ce poisson.
La carpe est actuellement présente dans toute l’Europe sauf en Norvège, dans le nord de l’Angleterre et dans les pays baltes. Elle a été introduite aux Pays-Bas en 1899. En Amérique du Nord où la carpe fut importée d’Allemagne en 1877, la situation a évolué de façon totalement différente. Elle agrandit très rapidement sa zone de répartition, elle est élevée dans de nombreux étangs, puis colonise les lacs, rivières avant de voir sa progression stoppée vers 1950 par une mortalité massive liée au contact de maladies inconnues jusque-là dans leur continent d'origine.
La carpe part à la conquête de l'Amérique du Sud, de l'Afrique, elle arrive en Australie en 1860, en Afrique du Sud, à Madagascar en 1896 ainsi qu’en Afrique centrale et dans le Sud-est asiatique.. En Australie elle est considérée comme nuisible et fait l’objet de destructions massives. On la retrouve rapidement en Israël où elle fait l’objet d’élevages intensifs avec des productions énormes (plusieurs tonnes à l’hectare). Dans le même temps en Asie, se développe une carpiculture familiale et rustique. Chaque agriculteur a sa production de volailles et de carpes (source importante de protéines).
De la carpe sauvage à la carpe d'élevage :
Le développement de la carpiculture (élevage de la carpe) en Europe centrale était au départ essentiellement freiné de par les limites imposées par les températures. Ensuite, les progrès techniques de l’élevage et le contrôle de la reproduction et la sélection ont permis de sélectionner des variétés de carpes qui grossissent mieux dans les eaux fraîches où naturellement la carpe d’origine ne se reproduit pas régulièrement.
Dans l’Europe du Sud, la carpe est réellement indigène, ainsi dans le delta du Danube, les carpes se reproduisent en énormes quantités. Ces carpes (appelées aussi carpes rouleaux) présentent une morphologie très allongée : rapport longueur/hauteur = 3,4 contre 2 à 2,5 pour les variétés sélectionnées en élevage. Car il existe chez cette espèce un très grand polymorphisme (hauteur-longueur, écaillure, couleur…) lié à de fortes aptitudes d’adaptabilité à des conditions de milieu variées (eaux courantes, eaux stagnantes, eaux saumâtres…). Des différences importantes séparent les carpes sauvages des carpes domestiques d’élevage, les premières à corps plus cylindrique et oblong (type koï), les secondes à corps plus haut et plus massif.
En Europe la sélection des carpes communes pour l'élevage va se faire selon des critères de croissance et de forme (rapports longueur/hauteur et hauteur/épaisseur). Plus ces rapports sont faibles plus la carpe est intéressante pour le consommateur. Les poissons les plus recherchés ont des indices de hauteur inférieurs à 2,6. Ainsi naît toute une série de races de carpes :
Carpes écailles : Le corps est allongé et trapu recouvert de grandes écailles disposées régulièrement. La bouche, protractile, est munie de fortes lèvres portant 4 barbillons. La carpe possède une seule dorsale longue et une anale courte. Le dos est brun et vert et les flancs sont à reflets dorés et le ventre blanc à jaunâtre.
Carpes miroir : Le corps est plus trapu. Son dos est brun foncé. Ses couleurs sont les mêmes que celles de la carpe commune avec des flancs jaunâtres et dorés. Cependant, les carpes miroirs ont une écaillure incomplète. Le corps est en partie à nu avec une peau qui ressemble à du cuir et en partie muni de grosses écailles le long du corps. A noter qu'il existe une appellation de carpe royale, des carpes qui sont munies d'une seule rangée d'écailles sur le dos.
Carpes cuir : Le corps est robuste. Il est totalement dépourvu d'écailles. En moyenne, les carpes ne dépassent pas le mètre pour 10 kg. Il n'est quand même pas rare de trouver des poissons de 10 à 20 kg. Certains sujets peuvent exceptionnellement dépasser les 30 kg. Les carpes ne vivent généralement pas plus de 20 ans.
Au Japon, depuis plus de 2000 ans, les carpes sont domestiquées et élevées, en alternance, dans les rizières en terrasse des fermes. Les cultivateurs de riz les élevaient pour les manger, mais quelque part entre 1820 et 1830, ils commencèrent à élever et croiser des poissons présentant des mutations de couleur. Les fermiers conservaient les poissons les plus colorés comme animaux de compagnie, pour le plaisir des yeux. Pour passer l’hiver (2 à 3 mois de neige) elles étaient rentrées dans des « bassins » intérieurs.
La carpe possède un certain polychromatisme. Certaines couleurs ont été obtenues par sélection génétique : variétés ornementales avec du rouge, bleu, orange, jaune, blanc, noir... Cette création de variétés de différentes couleurs étendit leur renommée et petit à petit les koï furent admirés par un nombre croissant de japonais. L'empereur Hirohito en 1914 choisit de mettre des koï dans les douves du palais Impérial ce qui contribua grandement au développement de nouveaux élevages. Le terme Nishikigoi fut donné à ces carpes colorées pendant la deuxième guerre mondiale.
Au cours du XXème siècle, le commerce des variétés colorées et sélectionnées s’est développé fortement. Les pays possédant déjà une connaissance de l'élevage des carpes (Israël, Asie, Malaisie, Indonésie et dans d’autres pays asiatiques chauds) se sont également lancés dans ce commerce lucratif. Les méthodes d'élevage des Nishikigoi sont inspirées de l'aquaculture traditionnelle (grossissement rapide en vue de la consommation) et portent donc sur des carpes originaires d’Asie Mineure (corps allongé) qui par la suite ont été croisées avec d'autres variétés au corps plus trapu en provenance d'Europe (Allemagne, carpes cuir...) et habituées à des températures plus basses.
Pour l'instant je met l'histoire:
1 L'Histoire
Étymologie & Mythologie :
« On déballait les carpes du Rhin, mordorées, si belles avec leurs roussissures métalliques,
et dont les plaques d'écailles ressemblent à des émaux cloisonnés et bronzés ... »
ZOLA, Le Ventre de Paris, 1873.
Cette superbe description de la carpe traduit parfaitement bien le nom scientifique mi-grec, mi-latin donné par Linné en 1758 à ce genre de poisson : « Cyprinus carpio ». Les Grecs l’appelaient « κυπρίνος » -cyprinos- c’est-à-dire « originaire de Chypre », comme le cyprès ou le cuivre…qui ont la même étymologie : Kupris !
Cette Cypris désignait non seulement l’île de Chypre, mais avant tout sa déesse tutélaire, Aphrodite (Vénus pour les latins), déesse de l’amour et de la beauté. Or Aphrodite, littéralement, c’est celle qui est « née de l’écume », mais quelle écume ! Avec elle, nous sommes au cœur de la mythologie ! Son père était Ouranos (Uranus), le dieu du Ciel, époux de Gaïa (la Terre). Il avait la fâcheuse habitude de dévorer ses enfants mais l’un de ceux-ci, Cronos, en avait réchappé, et pour mettre fin à cette malédiction, trancha les organes génitaux de son père et les lança dans la mer…où ils tombèrent dans une gerbe d’écume qui fut poussée par Zéphyr, l’un des dieux du vent, de Cythère à Chypre où elle échoua. C’est là, sur le rivage , près d’un rocher que l’on peut toujours voir, la « Petra dou Roumiou » -la pierre du romain-, non loin de Paphos, sur la côte occidentale , au milieu d’un paysage grandiose, que naquit alors Aphrodite Cypris…et sans doute ses petites sœurs les Carpes !
Quant à l’origine latine du mot « carpio » linnéen, elle serait plutôt à chercher du côté de l’Europe de l’Est : la karpfen germanique désignait un gros poisson du Danube que les Latins appelèrent alors « carpa ». Mais l’on ne peut non plus s’empêcher de penser aussi qu’en latin, « carpere » veut dire cueillir mais aussi « brouter » pour les animaux et « carpatinus » semblable à un cuir grossier : deux mots qui pourraient également décrire parfaitement notre commère la Carpe !
La carpe commune à l'assaut des continents :
A l'origine de nos fameuses carpes koï, se trouvent les carpes communes. Il existe environ 1.500 espèces ou sous-espèces de carpes dans le monde. Notre carpe commune est originaire d’Asie Mineure et d’Asie moyenne et a ensuite étendu naturellement son aire de répartition vers l’Est (Chine), le Sud et l’Ouest (bassins de l’Euphrate et du Danube), probablement à la fin de la période post-glaciaire, soit il y a 8.000 à 10.000 ans !
Puis on la retrouve de la Turquie au Japon et dans les bassins de la mer Noire, de la Caspienne et de la mer d’Aral. Dans le bassin de l’Amour, elle s’hybride avec d’autres espèces voisines. Sa distribution s’élargit fortement vers le Nord et vers l’Ouest en Europe. La carpe a été l'un des premiers poissons introduits en France, il y a plus de 2000 ans, par les Romains, puis élevés ensuite tout au long du Moyen Age par les moines. Charlemagne (742-814 après J.C.) a été le premier souverain à ordonner à ses fermiers de maintenir mares et étangs pour l’élevage des carpes. En France, entre 1300 et 1500, les monastères développent et exploitent de nombreux étangs de production de carpes. Les connaissances en aquaculture évoluent lentement et souvent l'agriculture prend le dessus sur l'élevage piscicole et à partir de 1800, de nombreux étangs disparaissent. Elle s'est largement répandue sur l'ensemble du territoire à l'exception des zones de montagne (Alpes, Pyrénées). Ce poisson osseux, au squelette entièrement ossifié, est le plus gros de nos cyprinidés. La carpe est aujourd’hui très présente dans toute l’Europe et les pêcheurs connaissent bien ce poisson.
La carpe est actuellement présente dans toute l’Europe sauf en Norvège, dans le nord de l’Angleterre et dans les pays baltes. Elle a été introduite aux Pays-Bas en 1899. En Amérique du Nord où la carpe fut importée d’Allemagne en 1877, la situation a évolué de façon totalement différente. Elle agrandit très rapidement sa zone de répartition, elle est élevée dans de nombreux étangs, puis colonise les lacs, rivières avant de voir sa progression stoppée vers 1950 par une mortalité massive liée au contact de maladies inconnues jusque-là dans leur continent d'origine.
La carpe part à la conquête de l'Amérique du Sud, de l'Afrique, elle arrive en Australie en 1860, en Afrique du Sud, à Madagascar en 1896 ainsi qu’en Afrique centrale et dans le Sud-est asiatique.. En Australie elle est considérée comme nuisible et fait l’objet de destructions massives. On la retrouve rapidement en Israël où elle fait l’objet d’élevages intensifs avec des productions énormes (plusieurs tonnes à l’hectare). Dans le même temps en Asie, se développe une carpiculture familiale et rustique. Chaque agriculteur a sa production de volailles et de carpes (source importante de protéines).
De la carpe sauvage à la carpe d'élevage :
Le développement de la carpiculture (élevage de la carpe) en Europe centrale était au départ essentiellement freiné de par les limites imposées par les températures. Ensuite, les progrès techniques de l’élevage et le contrôle de la reproduction et la sélection ont permis de sélectionner des variétés de carpes qui grossissent mieux dans les eaux fraîches où naturellement la carpe d’origine ne se reproduit pas régulièrement.
Dans l’Europe du Sud, la carpe est réellement indigène, ainsi dans le delta du Danube, les carpes se reproduisent en énormes quantités. Ces carpes (appelées aussi carpes rouleaux) présentent une morphologie très allongée : rapport longueur/hauteur = 3,4 contre 2 à 2,5 pour les variétés sélectionnées en élevage. Car il existe chez cette espèce un très grand polymorphisme (hauteur-longueur, écaillure, couleur…) lié à de fortes aptitudes d’adaptabilité à des conditions de milieu variées (eaux courantes, eaux stagnantes, eaux saumâtres…). Des différences importantes séparent les carpes sauvages des carpes domestiques d’élevage, les premières à corps plus cylindrique et oblong (type koï), les secondes à corps plus haut et plus massif.
En Europe la sélection des carpes communes pour l'élevage va se faire selon des critères de croissance et de forme (rapports longueur/hauteur et hauteur/épaisseur). Plus ces rapports sont faibles plus la carpe est intéressante pour le consommateur. Les poissons les plus recherchés ont des indices de hauteur inférieurs à 2,6. Ainsi naît toute une série de races de carpes :
Carpes écailles : Le corps est allongé et trapu recouvert de grandes écailles disposées régulièrement. La bouche, protractile, est munie de fortes lèvres portant 4 barbillons. La carpe possède une seule dorsale longue et une anale courte. Le dos est brun et vert et les flancs sont à reflets dorés et le ventre blanc à jaunâtre.
Carpes miroir : Le corps est plus trapu. Son dos est brun foncé. Ses couleurs sont les mêmes que celles de la carpe commune avec des flancs jaunâtres et dorés. Cependant, les carpes miroirs ont une écaillure incomplète. Le corps est en partie à nu avec une peau qui ressemble à du cuir et en partie muni de grosses écailles le long du corps. A noter qu'il existe une appellation de carpe royale, des carpes qui sont munies d'une seule rangée d'écailles sur le dos.
Carpes cuir : Le corps est robuste. Il est totalement dépourvu d'écailles. En moyenne, les carpes ne dépassent pas le mètre pour 10 kg. Il n'est quand même pas rare de trouver des poissons de 10 à 20 kg. Certains sujets peuvent exceptionnellement dépasser les 30 kg. Les carpes ne vivent généralement pas plus de 20 ans.
Au Japon, depuis plus de 2000 ans, les carpes sont domestiquées et élevées, en alternance, dans les rizières en terrasse des fermes. Les cultivateurs de riz les élevaient pour les manger, mais quelque part entre 1820 et 1830, ils commencèrent à élever et croiser des poissons présentant des mutations de couleur. Les fermiers conservaient les poissons les plus colorés comme animaux de compagnie, pour le plaisir des yeux. Pour passer l’hiver (2 à 3 mois de neige) elles étaient rentrées dans des « bassins » intérieurs.
La carpe possède un certain polychromatisme. Certaines couleurs ont été obtenues par sélection génétique : variétés ornementales avec du rouge, bleu, orange, jaune, blanc, noir... Cette création de variétés de différentes couleurs étendit leur renommée et petit à petit les koï furent admirés par un nombre croissant de japonais. L'empereur Hirohito en 1914 choisit de mettre des koï dans les douves du palais Impérial ce qui contribua grandement au développement de nouveaux élevages. Le terme Nishikigoi fut donné à ces carpes colorées pendant la deuxième guerre mondiale.
Au cours du XXème siècle, le commerce des variétés colorées et sélectionnées s’est développé fortement. Les pays possédant déjà une connaissance de l'élevage des carpes (Israël, Asie, Malaisie, Indonésie et dans d’autres pays asiatiques chauds) se sont également lancés dans ce commerce lucratif. Les méthodes d'élevage des Nishikigoi sont inspirées de l'aquaculture traditionnelle (grossissement rapide en vue de la consommation) et portent donc sur des carpes originaires d’Asie Mineure (corps allongé) qui par la suite ont été croisées avec d'autres variétés au corps plus trapu en provenance d'Europe (Allemagne, carpes cuir...) et habituées à des températures plus basses.
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
Date d'inscription : 30/08/2011
Age : 25
Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 11:01
Re,
Voila déja une page que j'avais lu auparavant.
Voila déja une page que j'avais lu auparavant.
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
Date d'inscription : 30/08/2011
Age : 25
Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 11:02
Re,
2 La Biologie, le Comportement
La classification :
Règne : Animalia
Embranchement : Chordata
Sous-embranchement : Gnathostomata
Classe : Actinopterygii
Sous-classe : Neopterygii
Super-ordre : Teleostei
Ordre : Clupeiformes
Famille : Cyprinidae
Genre : Cyprinus
Nom scientifique : Cyprinus carpio carpio
Auteur : Linnaeus, 1758
La discrétion de la carpe commune :
La carpe commune est un poisson typique des cours inférieurs et des milieux lentiques (étangs, bras morts, prairies inondées...). Elle se rencontre également dans les milieux saumâtres ( < 10 g/L de sel) où elle peut effectuer son cycle biologique. Elle recherche des milieux vaseux où la végétation est dense. Sa très grande tolérance vis-à-vis des facteurs environnementaux :
température > 30°C - elle préfère les eaux relativement chaudes (entre 15 et 27°) ;
salinité maximale de 14-15 mg/l ;
faible concentration en oxygène dissous (jusqu'à 0,5 ppm) ;
Explique son grand succès de colonisation des milieux les plus divers et sa très large extension géographique . C'est un poisson grégaire qui s'isole avec l'âge, benthique, sédentaire et de moeurs plutôt nocturnes. La carpe est photophobe (ou lucifuge), sélectionnant les habitats à faible intensité lumineuse, avec des variations saisonnières. Elle recherche les habitats riches en végétation, conformément à un comportement phytophile.
L’activité alimentaire est dominante. La carpe sauvage se nourrit surtout au crépuscule : au début et à la fin de la journée, ainsi que la nuit. Son activité trophique est très élevée durant l’été mais elle cesse de se nourrir à des températures < 6°C et supporte bien ces longues périodes de jeûne, les carpes recherchent alors les eaux profondes. Durant cette période, les carpes peuvent perdre jusqu'à 15% de leur poids.
La croissance des carpes est variable et dépend avant tout de la qualité de nourriture et de la durée de période de croissance. La prise de poids est rapide les premières années. Les sujets d’un été sont nommés feuilles ou seilles (50 g à 100 g le premier été) , ceux de 2 étés nourrains ou pénards (500 à 800 g) tandis que le terme carpeau désigne la carpe d’environ 1 à 2 kg (+/- 3 étés).
La carpe commune mesure de 50 à 75 cm, au maximum 1m 50 et pèse jusqu’à 37 kg. Elle peut vivre de 15 à 20 ans dans le milieu naturel et au maximum 50 ans en captivité. La croissance est ralentie par la surpopulation qui favorise le nanisme. Les variétés de carpes miroir et cuir grandissent plus vite que la carpe à écailles (jusqu'à 3 kg en une saison). Plus la croissance est rapide, plus les carpes sont hautes de corps.
La reproduction de la carpe commune :
Les carpes communes deviennent matures à partir de 2 ans pour les mâles et de 3 ans pour les femelles. La reproduction naturelle est assez tardive : entre mai et juin car elle nécessite une température de l'eau supérieure à 18°C. Si la température est insuffisante, la ponte n’a pas lieu. Chaque femelle pond en plusieurs fois entre 80 et 120 000 oeufs par kg. Ainsi une femelle de 5 kg produit environ 765 000 œufs. La maturation ovarienne est asynchrone. Elle est faite de vagues successives d’ovocytes et la ponte est, de ce fait fractionnée : chaque femelle dépose ses œufs en 2 à 3 fois sur une période de 10 à 14 jours. Elle se produit à l’aube et un peu au crépuscule, en eau peu profonde et donne lieu à des manifestations bruyantes par des sauts, chaque femelle étant accompagnée de plusieurs mâles. Les oeufs de 1,5 mm de diamètre environ (leur diamètre augmente avec l'âge de la femelle) adhèrent à la végétation aquatique et éclosent au bout de 5 jours à 20°C.
Les larves mesurent de 4,5 à 5 mm ; elles sont d’abord fixées aux plantes aquatiques puis libres. Elles se nourrissent tout d’abord de plancton (rotifères de 50 à 150 µm), puis elles deviennent benthophages à une taille de 2 cm. La croissance est rapide dans les eaux tièdes :
Age Taille optimale Taille en Camargue
1 an 14,7 cm 17,9 cm
2 ans 26,2 cm 25,1 cm
3 ans 33,1 cm -
4 ans 38,2 cm -
5 ans 40,8 cm -
6 ans 43,6 cm -
7 ans 46, 2 cm -
9 ans 48,4 cm 47,5 cm
L’optimum thermique de croissance se situe en général à 28-30 °C (Bruslé, 2001).
La carpe commune peut aussi s’hybrider avec le carassin (Carassius carassius) et peut donc être à l’origine d’une pollution génétique. Leur hybridation produit des individus stériles nommés « carpe de Kollar ». Ces poissons, aux caractères intermédiaires (forme générale du carassin mais présence possible de 1 à 4 barbillons), sont très résistants et ont une croissance rapide.
2 La Biologie, le Comportement
La classification :
Règne : Animalia
Embranchement : Chordata
Sous-embranchement : Gnathostomata
Classe : Actinopterygii
Sous-classe : Neopterygii
Super-ordre : Teleostei
Ordre : Clupeiformes
Famille : Cyprinidae
Genre : Cyprinus
Nom scientifique : Cyprinus carpio carpio
Auteur : Linnaeus, 1758
La discrétion de la carpe commune :
La carpe commune est un poisson typique des cours inférieurs et des milieux lentiques (étangs, bras morts, prairies inondées...). Elle se rencontre également dans les milieux saumâtres ( < 10 g/L de sel) où elle peut effectuer son cycle biologique. Elle recherche des milieux vaseux où la végétation est dense. Sa très grande tolérance vis-à-vis des facteurs environnementaux :
température > 30°C - elle préfère les eaux relativement chaudes (entre 15 et 27°) ;
salinité maximale de 14-15 mg/l ;
faible concentration en oxygène dissous (jusqu'à 0,5 ppm) ;
Explique son grand succès de colonisation des milieux les plus divers et sa très large extension géographique . C'est un poisson grégaire qui s'isole avec l'âge, benthique, sédentaire et de moeurs plutôt nocturnes. La carpe est photophobe (ou lucifuge), sélectionnant les habitats à faible intensité lumineuse, avec des variations saisonnières. Elle recherche les habitats riches en végétation, conformément à un comportement phytophile.
L’activité alimentaire est dominante. La carpe sauvage se nourrit surtout au crépuscule : au début et à la fin de la journée, ainsi que la nuit. Son activité trophique est très élevée durant l’été mais elle cesse de se nourrir à des températures < 6°C et supporte bien ces longues périodes de jeûne, les carpes recherchent alors les eaux profondes. Durant cette période, les carpes peuvent perdre jusqu'à 15% de leur poids.
La croissance des carpes est variable et dépend avant tout de la qualité de nourriture et de la durée de période de croissance. La prise de poids est rapide les premières années. Les sujets d’un été sont nommés feuilles ou seilles (50 g à 100 g le premier été) , ceux de 2 étés nourrains ou pénards (500 à 800 g) tandis que le terme carpeau désigne la carpe d’environ 1 à 2 kg (+/- 3 étés).
La carpe commune mesure de 50 à 75 cm, au maximum 1m 50 et pèse jusqu’à 37 kg. Elle peut vivre de 15 à 20 ans dans le milieu naturel et au maximum 50 ans en captivité. La croissance est ralentie par la surpopulation qui favorise le nanisme. Les variétés de carpes miroir et cuir grandissent plus vite que la carpe à écailles (jusqu'à 3 kg en une saison). Plus la croissance est rapide, plus les carpes sont hautes de corps.
La reproduction de la carpe commune :
Les carpes communes deviennent matures à partir de 2 ans pour les mâles et de 3 ans pour les femelles. La reproduction naturelle est assez tardive : entre mai et juin car elle nécessite une température de l'eau supérieure à 18°C. Si la température est insuffisante, la ponte n’a pas lieu. Chaque femelle pond en plusieurs fois entre 80 et 120 000 oeufs par kg. Ainsi une femelle de 5 kg produit environ 765 000 œufs. La maturation ovarienne est asynchrone. Elle est faite de vagues successives d’ovocytes et la ponte est, de ce fait fractionnée : chaque femelle dépose ses œufs en 2 à 3 fois sur une période de 10 à 14 jours. Elle se produit à l’aube et un peu au crépuscule, en eau peu profonde et donne lieu à des manifestations bruyantes par des sauts, chaque femelle étant accompagnée de plusieurs mâles. Les oeufs de 1,5 mm de diamètre environ (leur diamètre augmente avec l'âge de la femelle) adhèrent à la végétation aquatique et éclosent au bout de 5 jours à 20°C.
Les larves mesurent de 4,5 à 5 mm ; elles sont d’abord fixées aux plantes aquatiques puis libres. Elles se nourrissent tout d’abord de plancton (rotifères de 50 à 150 µm), puis elles deviennent benthophages à une taille de 2 cm. La croissance est rapide dans les eaux tièdes :
Age Taille optimale Taille en Camargue
1 an 14,7 cm 17,9 cm
2 ans 26,2 cm 25,1 cm
3 ans 33,1 cm -
4 ans 38,2 cm -
5 ans 40,8 cm -
6 ans 43,6 cm -
7 ans 46, 2 cm -
9 ans 48,4 cm 47,5 cm
L’optimum thermique de croissance se situe en général à 28-30 °C (Bruslé, 2001).
La carpe commune peut aussi s’hybrider avec le carassin (Carassius carassius) et peut donc être à l’origine d’une pollution génétique. Leur hybridation produit des individus stériles nommés « carpe de Kollar ». Ces poissons, aux caractères intermédiaires (forme générale du carassin mais présence possible de 1 à 4 barbillons), sont très résistants et ont une croissance rapide.
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 11:05
Re,
Je n'arrive pas a trouvé ce que je veux donc je vais en faire un moi meme.
Je n'arrive pas a trouvé ce que je veux donc je vais en faire un moi meme.
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 11:16
Re,
[table border="1"]
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 11:16
Re,
Ok ba je vais le faire avec paint pacque'la...................
Ok ba je vais le faire avec paint pacque'la...................
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 11:24
Re,
Ne vous inquieter pas je vais le faire!
Mais cette apres midi car il faut que je fasse mes devoirs!
Ne vous inquieter pas je vais le faire!
Mais cette apres midi car il faut que je fasse mes devoirs!
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 11:27
Re,
Voila deja:
Kohaku (variété blanche à taches rouges) ;
Taisho-Sanke (variété tricolore à fond blanc et taches rouges et noires) ;
Showa-Sanshoku (variété tricolore à fond noir et taches blanches et rouges) ;
Bekko (variété bicolore) :
Shiro-Bekko (variété à fond blanc et légères taches noires) ;
Aka-Bekko (variété à fond orange et légères taches noires) ;
Ki-Bekko (variété à fond jaune et légères taches noires) ;
Goshiki (variété bicolore à fond gris et taches oranges) ;
Bekko (variété bicolore avec des traces noires sur un fond d'une autre couleur) ;
Utsurimono (variété bicolore à fond noir) ;
Asagi-Shusui (variété gris bleuté et blanche avec des taches rouges) ;
Asagi (variété présentant des reflets métalliques) ;
Shusui (variété ne présentant pas de reflets métalliques) ;
Koromo (variété avec écailles présentant une bordure bleue) ;
Hikarimono (variété unicolore métallique)
Ogon (variété de couleur platine) ;
Hikari-Utsurimono (variété tricolore métallique) ;
Hikari-Moyomono (variété multicolore métallique) ;
Hikari-Mujimono (variété unicolore : orange, jaune ou grise) ;
Kawarimono (variété regroupant tous les poissons sans reflets métalliques n'appartenant à aucune autre variété) ;
Karasugoi
Matsubagoi
Kinginrin (variété présentant des écailles très brillantes et argentées) ;
Tancho (variété avec une tache rouge sur la tête).
Voila deja:
Kohaku (variété blanche à taches rouges) ;
Taisho-Sanke (variété tricolore à fond blanc et taches rouges et noires) ;
Showa-Sanshoku (variété tricolore à fond noir et taches blanches et rouges) ;
Bekko (variété bicolore) :
Shiro-Bekko (variété à fond blanc et légères taches noires) ;
Aka-Bekko (variété à fond orange et légères taches noires) ;
Ki-Bekko (variété à fond jaune et légères taches noires) ;
Goshiki (variété bicolore à fond gris et taches oranges) ;
Bekko (variété bicolore avec des traces noires sur un fond d'une autre couleur) ;
Utsurimono (variété bicolore à fond noir) ;
Asagi-Shusui (variété gris bleuté et blanche avec des taches rouges) ;
Asagi (variété présentant des reflets métalliques) ;
Shusui (variété ne présentant pas de reflets métalliques) ;
Koromo (variété avec écailles présentant une bordure bleue) ;
Hikarimono (variété unicolore métallique)
Ogon (variété de couleur platine) ;
Hikari-Utsurimono (variété tricolore métallique) ;
Hikari-Moyomono (variété multicolore métallique) ;
Hikari-Mujimono (variété unicolore : orange, jaune ou grise) ;
Kawarimono (variété regroupant tous les poissons sans reflets métalliques n'appartenant à aucune autre variété) ;
Karasugoi
Matsubagoi
Kinginrin (variété présentant des écailles très brillantes et argentées) ;
Tancho (variété avec une tache rouge sur la tête).
- gobiConnaisseur
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 17:04
il y a pas d'image avec ?
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 19:22
Re,
Je comptait le faire mais j'ai été chercher de la bouffe pour mes poissons.
Je comptait le faire mais j'ai été chercher de la bouffe pour mes poissons.
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 19:29
Re,
Kohaku:
[img][/img]
Sanke:
[img][/img]
Kohaku:
[img][/img]
Sanke:
[img][/img]
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 19:45
Re,
Bekko:
[img][/img]
Showa:
[img][/img]
Bekko:
[img][/img]
Showa:
[img][/img]
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 19:47
Re,
[img][/img]
[img][/img]
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 19:48
Re,
Je vais faire un truc celui qui veux voir une éspéce en particuliers me le dit.
Je vais faire un truc celui qui veux voir une éspéce en particuliers me le dit.
- gobiConnaisseur
Localisation : ardeche
Date d'inscription : 07/11/2010
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Re: Vidéos de kois.
Sam 7 Jan 2012 - 20:03
moi j'aimerrai voir ki beko
Re: Vidéos de kois.
Dim 8 Jan 2012 - 8:04
Ah ben quand vous vous mettez au taf il y a de quoi lire. Merci , ce que je cherche c'était des planches comme a proposé Cphil
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Dim 8 Jan 2012 - 10:26
Re,
D'acord!
D'acord!
- dada12340Régulier
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Re: Vidéos de kois.
Dim 8 Jan 2012 - 10:29
Re,
Kohaku:
Un Koi peau blanche, avec un motif rouge
.
La Kohaku est probablement le plus connu et gardé koi variëteit. Salut racines sont fin du 19e siècle. A la Kohaku, il existe plusieurs variétés, qui doivent leur nom à nombre de taches.
Nidan Kohaku. Un Kohaku avec deux taches rouges
Sandan Kohaku. Un Kohaku avec trois taches rouges
Yodan Kohaku. Un Kohaku avec quatre taches rouges
Maruten Kohaku. Un Kohaku avec des taches 2, 3 ou 4 rouges et en cercle rouge sur la fronthead.
Inuzama Kohaku. Un Kohaku avec une lampe torche rouge sur son corps
Kuchibeni Kohaku. Een Kohaku que celui d'avant, mais alors avec des lèvres rouges
Tancho Kohaku. A koi blanc avec un point rouge sur le fronthead [img][/img]
De Showa Sanshoku .
Koi une peau noire avec un motif rouge et blanc
Le Showa existe aussi chez plusieurs espèces [img][/img]
De TAISHO SANKE .
"Taisho Sanshoku», ou «Sanke» est le terme appliqué à un koi qui a un corps blanc avec des taches rouges et noires. Les taches noires sont en forme de taches qui sont généralement confinés au corps-dessus de la ligne latérale. Sanke comme une race koi a été établi autour 1917.
1; De Sanke n'a pas obtenu Sumi (Noir) sur son front, différente de la Showa qui le fait.
2; Sanke n'a pas obtenu sumi sur le côté de son corps. Le Showa ne [img][/img]
De Utsuri.
«Hikari Utsuri» est le terme appliqué à la version métallique de la Showa et Utsuri . Le terme traduit «Hikari» à «métalliques». Cette classe comprend les koi Showa Kin (métalliques Showa avec un éclat doré), le Showa Gin (métalliques Showa avec un éclat d'argent), le Shiro Gin (métalliques Shiro Utsuri), le Kin Ki Utsuri (métallique Ki Utsuri), et le Kin Salut Utsuri (métalliques Salut Utsuri). [img][/img]
De bekko.
«Bekko» est le terme appliqué à un koi qui a une couleur de base unique de blanc (shiro bekko), ou rouge (aka bekko) ou jaune (ki bekko). Au cours de cette couleur de base sont des taches noires en forme de taches généralement confiné au corps-dessus de la ligne latérale.
Bekko est de Sanke que Utsuri est de Showa. Ainsi, tous les critères qui s'appliquent à Sanke sumi qualité et tendance sont applicables à bekko sumi. [img][/img]
«Tancho ' est le terme appliqué à un Kohaku, Sanke, ou Showa dont la seule marque rouge est une tache ronde de couleur rouge sur la tête. Tancho koi sont très prisées chez les amateurs, surtout les Japonais, parce qu'ils ressemblent drapeau du Japon et de l'oiseau national. Aucune autre marque rouge doit apparaître nulle part ailleurs. La tache rouge doit être aussi ronde que possible, et ne devrait pas atteindre l'épaule ni le nez du poisson.
De ASAGI.
'Asagi' est le terme appliqué à un koi entièrement réticulée qui présente une couleur bleu au-dessus de sa ligne latérale, et accentués par des marques rouges sur sa face inférieure. Réticulation se réfère à des échelles qui forment une apparence nette-like. Ainsi, une Asagi présente un modèle bleuté nette dans toute la partie supérieure de son corps. Cette réticulation est créé par l'Asagi écailles bleues, qui sont entourés par des bords blancs.
Aussi ASAGI [img][/img]
[img][/img]
De Goshiki.
«Goshiki» est le terme appliqué à un koi qui a une couleur de base blanche avec noir et bleu-réticulation, recouverte par Kohaku-like motifs rouges. Réticulation se réfère à des échelles qui forment une apparence nette-like.
Le mot traduit par «Goshiki» à «cinq couleurs». L'original a été développé à partir Goshiki le Sanké et Asagi. Ainsi, les «cinq couleurs» de l'Goshiki sont le rouge, le noir et blanc de la Sanke et le gris et le bleu de l'Asagi.[img][/img]
Kujaku.
«Kujaku" est le terme appliqué à un koï métallique avec réticulation complète ou «compensation» d'effet sur son dos. Le terme traduit «Kujaku» à «paon». Selon www.koi.com , Il a été développé par M. Nishi Hirasawa de piscicultures Hiranishi au début des années 1960, en traversant le Goshiki avec le Hikarimuji.
Le Kujaku a une couleur de base blanc métallique recouverte par métalliques rouge, orange, ou des marques jaunes, créant un effet saisissant. Notez que dans un Kujaku, à la fois la couleur de base et les marquages sont réticulées. Réticulation se réfère à des échelles qui forment une apparence nette-like. Ainsi, un Kujaku expositions ce modèle nette sur tout le corps, contrairement Koromo (qui a réticulation seulement sur ses marques) ou Goshiki (qui a réticulation seulement dans sa couleur de base). [img][/img]
De gauche à droite: :
Aka Matsuba
Gin Matsuba
Salut Matsuba
[img][/img][img][/img][img][/img]
De gauche à droite
Ogon d'Orange
Platium Ogon
Yamabuki Ogon
[img][/img][img][/img][img][/img]
De gauche à droite
Chagoi
Soragoi
Ochiba
[img][/img][img][/img][img][/img]
De gauche à droite
Akamigoi
Benigoi
Kigoi
[img][/img][img][/img][img][/img]
Gauche de la Goromo Ai
Rechts de Budo Goromo
[img][/img][img][/img]
deLeft la Classique moderne et le droit du Goshiki
De gauche à droite:
Hajiro
Cuire Matsukawa
Beni Kumonryu
Kumonryu
Hariwake Doitsu
[img][/img][img][/img][img][/img][img][/img][img][/img]
Kohaku:
Un Koi peau blanche, avec un motif rouge
.
La Kohaku est probablement le plus connu et gardé koi variëteit. Salut racines sont fin du 19e siècle. A la Kohaku, il existe plusieurs variétés, qui doivent leur nom à nombre de taches.
Nidan Kohaku. Un Kohaku avec deux taches rouges
Sandan Kohaku. Un Kohaku avec trois taches rouges
Yodan Kohaku. Un Kohaku avec quatre taches rouges
Maruten Kohaku. Un Kohaku avec des taches 2, 3 ou 4 rouges et en cercle rouge sur la fronthead.
Inuzama Kohaku. Un Kohaku avec une lampe torche rouge sur son corps
Kuchibeni Kohaku. Een Kohaku que celui d'avant, mais alors avec des lèvres rouges
Tancho Kohaku. A koi blanc avec un point rouge sur le fronthead [img][/img]
De Showa Sanshoku .
Koi une peau noire avec un motif rouge et blanc
Le Showa existe aussi chez plusieurs espèces [img][/img]
De TAISHO SANKE .
"Taisho Sanshoku», ou «Sanke» est le terme appliqué à un koi qui a un corps blanc avec des taches rouges et noires. Les taches noires sont en forme de taches qui sont généralement confinés au corps-dessus de la ligne latérale. Sanke comme une race koi a été établi autour 1917.
1; De Sanke n'a pas obtenu Sumi (Noir) sur son front, différente de la Showa qui le fait.
2; Sanke n'a pas obtenu sumi sur le côté de son corps. Le Showa ne [img][/img]
De Utsuri.
«Hikari Utsuri» est le terme appliqué à la version métallique de la Showa et Utsuri . Le terme traduit «Hikari» à «métalliques». Cette classe comprend les koi Showa Kin (métalliques Showa avec un éclat doré), le Showa Gin (métalliques Showa avec un éclat d'argent), le Shiro Gin (métalliques Shiro Utsuri), le Kin Ki Utsuri (métallique Ki Utsuri), et le Kin Salut Utsuri (métalliques Salut Utsuri). [img][/img]
De bekko.
«Bekko» est le terme appliqué à un koi qui a une couleur de base unique de blanc (shiro bekko), ou rouge (aka bekko) ou jaune (ki bekko). Au cours de cette couleur de base sont des taches noires en forme de taches généralement confiné au corps-dessus de la ligne latérale.
Bekko est de Sanke que Utsuri est de Showa. Ainsi, tous les critères qui s'appliquent à Sanke sumi qualité et tendance sont applicables à bekko sumi. [img][/img]
«Tancho ' est le terme appliqué à un Kohaku, Sanke, ou Showa dont la seule marque rouge est une tache ronde de couleur rouge sur la tête. Tancho koi sont très prisées chez les amateurs, surtout les Japonais, parce qu'ils ressemblent drapeau du Japon et de l'oiseau national. Aucune autre marque rouge doit apparaître nulle part ailleurs. La tache rouge doit être aussi ronde que possible, et ne devrait pas atteindre l'épaule ni le nez du poisson.
De ASAGI.
'Asagi' est le terme appliqué à un koi entièrement réticulée qui présente une couleur bleu au-dessus de sa ligne latérale, et accentués par des marques rouges sur sa face inférieure. Réticulation se réfère à des échelles qui forment une apparence nette-like. Ainsi, une Asagi présente un modèle bleuté nette dans toute la partie supérieure de son corps. Cette réticulation est créé par l'Asagi écailles bleues, qui sont entourés par des bords blancs.
Aussi ASAGI [img][/img]
[img][/img]
De Goshiki.
«Goshiki» est le terme appliqué à un koi qui a une couleur de base blanche avec noir et bleu-réticulation, recouverte par Kohaku-like motifs rouges. Réticulation se réfère à des échelles qui forment une apparence nette-like.
Le mot traduit par «Goshiki» à «cinq couleurs». L'original a été développé à partir Goshiki le Sanké et Asagi. Ainsi, les «cinq couleurs» de l'Goshiki sont le rouge, le noir et blanc de la Sanke et le gris et le bleu de l'Asagi.[img][/img]
Kujaku.
«Kujaku" est le terme appliqué à un koï métallique avec réticulation complète ou «compensation» d'effet sur son dos. Le terme traduit «Kujaku» à «paon». Selon www.koi.com , Il a été développé par M. Nishi Hirasawa de piscicultures Hiranishi au début des années 1960, en traversant le Goshiki avec le Hikarimuji.
Le Kujaku a une couleur de base blanc métallique recouverte par métalliques rouge, orange, ou des marques jaunes, créant un effet saisissant. Notez que dans un Kujaku, à la fois la couleur de base et les marquages sont réticulées. Réticulation se réfère à des échelles qui forment une apparence nette-like. Ainsi, un Kujaku expositions ce modèle nette sur tout le corps, contrairement Koromo (qui a réticulation seulement sur ses marques) ou Goshiki (qui a réticulation seulement dans sa couleur de base). [img][/img]
De gauche à droite: :
Aka Matsuba
Gin Matsuba
Salut Matsuba
[img][/img][img][/img][img][/img]
De gauche à droite
Ogon d'Orange
Platium Ogon
Yamabuki Ogon
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De gauche à droite
Chagoi
Soragoi
Ochiba
[img][/img][img][/img][img][/img]
De gauche à droite
Akamigoi
Benigoi
Kigoi
[img][/img][img][/img][img][/img]
Gauche de la Goromo Ai
Rechts de Budo Goromo
[img][/img][img][/img]
deLeft la Classique moderne et le droit du Goshiki
De gauche à droite:
Hajiro
Cuire Matsukawa
Beni Kumonryu
Kumonryu
Hariwake Doitsu
[img][/img][img][/img][img][/img][img][/img][img][/img]
- dada12340Régulier
Localisation : aisne
Date d'inscription : 30/08/2011
Age : 25
Re: Vidéos de kois.
Dim 8 Jan 2012 - 10:31
Re,
Je vais l'editer pour avoir les images.
Je vais l'editer pour avoir les images.
- gobiConnaisseur
Localisation : ardeche
Date d'inscription : 07/11/2010
Age : 52
Re: Vidéos de kois.
Dim 8 Jan 2012 - 10:41
super! merci
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